Nos éleveurs

L’environnement vu par Pierre MORFOUACE

Mon élevage est autonome sur le plan de l’épandage des déjections, nous disposons d’une station de traitement pour éliminer les excédents d’azote et de phosphore.

Je valorise au mieux les déjections produites sur l’exploitation, je dispose d’une plate-forme de compostage. Après quatre semaines de travail nous obtenons un composte de qualité qui est utilisé dans les pleines céréalières.

Nous réutilisons également les eaux issus du traitement des déjections pour l’irrigation des parcelles proches.

J’apporte un effort particulier à l’entretien des abords de mon exploitation. J’envisage d’ailleurs de replanter une haie bocagère pour mieux inscrire mon élevage dans le paysage.

Les recommandations du cahier des charges LE COCHON DE BRETAGNE vont dans le sens du respect des autres.

« Un acte d’indépendance », Véronique L’ANTHOËN

« Un acte d’indépendance », Véronique L’ANTHOËN

J’ai adhéré à la démarche Le Cochon de Bretagne parce que c’est un cahier des charges créé par des éleveurs et dans lequel je me retrouve bien. Il prend bien en considération la vie de l’animal, pour qu’il soit bien né et bien élevé. C’est très important à mes yeux.

Et puis avec Cochon de Bretagne, je reste indépendante. Je choisis mes partenaires dans le respect du cahier des charges. Je suis chez moi, c’est moi qui décide.

Ce qui me plait aussi c’est l’animation que nous les éleveurs faisons autour de la démarche qualité. Nous sommes en contact direct avec les consommateurs ainsi qu’avec les professionnels de la viande de porc: les bouchers, les charcutiers, les restaurateurs.

Le Bien être selon Pierre LE FLOC’H

Le Bien être selon Pierre LE FLOC’H

Me rapprocher des animaux. C’est ce à quoi je suis parvenu depuis les travaux d’amélioration de mon élevage.

Si je suis éleveur de porcs, et qui plus est Cochon de Bretagne, c’est parce que j’ai toujours aimé travailler avec les animaux. C’est ma vie. J’adore ça.

Alors quand les nouvelles normes d’élevage ont été adoptées, les choix de mes associés et moi-même se sont tournés vers ce qui nous est apparus comme le mieux pour nos truies : un espace où elles peuvent s’autogérer, manger, boire et bouger quand elles en ont envie, même si je constate qu’elles sont plutôt « casanières ».

Je porte beaucoup d’attention à leur calme. Je n’ai pas envie de les voir énervées. A voir leur comportement, mes choix d’élevage me confortent.

« Pour un développement local », Odile KERANDEL

« Pour un développement local », Odile KERANDEL

J’ai choisi d’adhérer à la démarche Cochon de Bretagne car pour moi c’est la façon de certifier mon travail par un cahier des charges. Il prouve le sérieux de notre savoir faire.

L’appelation Cochon de Bretagne donne clairement l’origine. Et actuellement le consommateur recherche de plus en plus des produits locaux et tracés.

Notre démarche correspond tout à fait à cette demande et s’inscrit à juste titre dans le cadre du développement durable.


 »Un besoin de communiquer », Romuald LE STRAT


 »Un besoin de communiquer », Romuald LE STRAT

Lorsque j’ai été référencé dans le cahier des charges Cochon de Bretagne, c’est surtout l’aspect communication que je recherchais. En effet, le cahier des charges a dès le début de la démarche intégré cette demande: l’implication des éleveurs dans la communication.

D’ailleurs, j’ai un site internet dont le titre en page d’accueil s’intitule « l’EARL de l’Avel, un besoin de communiquer ». Cela me paraît très important de faire connaître notre métier et de montrer l’agriculture d’aujourd’hui et de faire tomber les « a prioris ».

J’ai participé à de nombreuses opérations telles que les « mercredis à la Ferme » ou l’opération « Copains comme Cochons » avec l’accueil de classes scolaires notamment.